Moins de sucre, c'est mieux pour notre cerveau ?

"Les résultats de nos recherches indiquent que le lactose en particulier peut accélérer la neurodégénérescence de notre cerveau"

25.09.2024
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Un taux de glycémie élevé peut avoir une influence directe sur notre cerveau. Si les vaisseaux sanguins se modifient en raison de dépôts dus au sucre, certaines zones du cerveau peuvent être sous-alimentées, ce qui peut être à l'origine d'attaques cérébrales et de démence. Des scientifiques de la clinique et polyclinique de neurologie de l'hôpital universitaire de Ratisbonne (UKR) ont maintenant découvert qu'une alimentation pauvre en sucre pourrait également avoir des effets positifs sur les performances du cerveau à long terme, indépendamment du taux de glycémie.

"Les résultats de nos recherches indiquent que le lactose en particulier peut accélérer la neurodégénérescence de notre cerveau", explique le professeur Dr Ralf Linker, directeur de la clinique et polyclinique de neurologie de l'UKR. Le point de départ de ce travail scientifique a été l'étude des effets du lactose sur le cerveau dans le cas de maladies auto-immunes, comme la sclérose en plaques (SEP). "Nous n'avons certes pas trouvé d'indices montrant qu'une consommation accrue de sucre influençait le risque de sclérose en plaques dans le modèle ou modifiait directement le système immunitaire, mais des effets directs de la consommation de lactose sur le cerveau ont été mis en évidence", explique le Dr Stefanie Haase, chef de laboratoire à la clinique et polyclinique de neurologie de l'UKR et responsable de l'étude.

L'équipe de chercheurs a ainsi constaté que le lactose se fixe sur les protéines et modifie ainsi la couche isolante des cellules, ce qui entraîne une usure et un vieillissement plus rapides des cellules cérébrales. De tels processus peuvent ouvrir la voie à une démence telle que la maladie d'Alzheimer. La frontière est mince, car il est également connu que le cerveau a besoin de sucre pour être performant, pour fonctionner. "Notre cerveau consomme beaucoup d'énergie. Dans ce cas, le glucose sous forme de sucre de pigeon est un excellent fournisseur", poursuit le professeur Linker. En fonctionnement normal, le cerveau sollicite environ 75 pour cent du glucose consommé par toutes les cellules du corps. Il s'agit donc de trouver le juste milieu pour maintenir un taux de sucre constant et ne pas tomber en hypoglycémie afin de conserver ses capacités intellectuelles et physiques. Dans leur étude, les scientifiques ont pu prouver qu'un excès de sucre peut non seulement endommager le cœur, le foie et d'autres organes, mais aussi le cerveau. Les prochaines étapes consisteront à examiner comment les nouvelles connaissances acquises peuvent avoir un impact direct sur le traitement des patients afin de renforcer la qualité de vie, les performances et la résistance.

Note: Cet article a été traduit à l'aide d'un système informatique sans intervention humaine. LUMITOS propose ces traductions automatiques pour présenter un plus large éventail d'actualités. Comme cet article a été traduit avec traduction automatique, il est possible qu'il contienne des erreurs de vocabulaire, de syntaxe ou de grammaire. L'article original dans Allemand peut être trouvé ici.

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