De nouveaux algorithmes pour mieux comprendre et combattre les tumeurs
USZ
Le traitement des patients atteints de cancer a fait d'énormes progrès ces dernières années. Une avancée majeure a été le développement des immunothérapies, qui sont utilisées avec beaucoup de succès dans certains types de cancer, même à un stade avancé. Cependant, un nombre important de patients ne répondent pas à l'immunothérapie. Rendre l'efficacité de l'immunothérapie accessible à ces patients est l'un des thèmes centraux de la recherche sur le cancer. Pour ce faire, il est essentiel de comprendre l'interaction et l'influence mutuelle de la tumeur et de l'environnement tumoral au niveau cellulaire, qui se comportent de manière individuelle chez chaque patient. L'hôpital universitaire de Zurich, l'université de Zurich et la société de diagnostic Roche collaborent depuis longtemps dans ce domaine de recherche.
La quantité de cellules T CD8 pourrait déterminer l'efficacité de la thérapie
Les trois institutions partenaires étendent à présent leur coopération au laboratoire de pathologie morphomoléculaire. Ce laboratoire entièrement numérisé poursuit une approche de recherche innovante qui s'appuie sur la collaboration antérieure dans le cadre du projet TumorProfiler.
Dans le cadre du projet TumorProfiler, les mélanomes malins ont été étudiés à l'aide de diverses méthodes de biologie moléculaire. Les chercheurs se sont attachés à comprendre l'ADN, l'ARN et les protéines des cellules tumorales individuelles et de leur environnement. Dans ce microenvironnement tumoral, les cellules immunitaires, y compris les cellules T CD8, jouent un rôle important dans la réponse au traitement. On distingue les tumeurs qui n'ont pas, peu ou beaucoup de ces cellules T CD8 dans leur environnement. Le typage et la classification les plus précis possibles des tumeurs (identité tumorale) en déterminant la quantité et la localisation de ces cellules immunitaires pourraient donc être un facteur important dans le choix de la thérapie la plus efficace.
De nouveaux algorithmes s'entraînent sur les cellules immunitaires
Le Laboratoire de pathologie morphomoléculaire vise à améliorer l'évaluation quantitative de la réaction du système immunitaire contre la tumeur. À cette fin, les partenaires de la collaboration utilisent les données générées dans le cadre du projet TumorProfiler pour développer et former des algorithmes qui déterminent les cellules immunitaires de manière efficace et précise. "Viktor Kölzer, responsable scientifique du département de pathologie numérique et médecin en chef à l'Institut de pathologie et de pathologie moléculaire de l'hôpital universitaire de Zurich et professeur de pathologie numérique à l'université de Zurich.
Dans le laboratoire de pathologie morphomoléculaire, l'hôpital universitaire de Zurich, l'université de Zurich et Roche travaillent avec l'apprentissage fédéré, une approche innovante qui permet d'entraîner des algorithmes sur des sites distribués sans compromettre la sécurité des données.
Cette collaboration marque une étape importante dans le traitement personnalisé du cancer. "La combinaison de l'expertise et des ressources des trois partenaires s'est avérée être un moteur de développement dans le domaine de la pathologie numérique", déclare M. Kölzer. "Nous sommes donc convaincus que le laboratoire de pathologie morphomoléculaire nous permettra d'améliorer considérablement le traitement du cancer. Les partenaires se concentrent sur la collaboration et les objectifs communs non seulement dans le domaine de la pathologie numérique, mais aussi dans celui de l'oncologie clinique. Une autre collaboration sur l'oncologie personnalisée entre l'hôpital universitaire de Zurich et Roche sera publiée prochainement.
Note: Cet article a été traduit à l'aide d'un système informatique sans intervention humaine. LUMITOS propose ces traductions automatiques pour présenter un plus large éventail d'actualités. Comme cet article a été traduit avec traduction automatique, il est possible qu'il contienne des erreurs de vocabulaire, de syntaxe ou de grammaire. L'article original dans Anglais peut être trouvé ici.