Une taille fine et suffisamment d'exercice

Seule la combinaison réduit nettement le risque de cancer

31.01.2025
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Plus de 40% de la population mondiale souffre d'obésité abdominale, qui se caractérise par un excès de graisse autour de la taille. Près de 30% des personnes ne sont pas suffisamment actives physiquement - deux facteurs dont il est prouvé qu'ils augmentent le risque de cancer. Une équipe de l'Institut d'épidémiologie et de médecine préventive de l'Université de Ratisbonne a réalisé une étude approfondie qui a permis d'acquérir de nouvelles connaissances sur les liens entre l'obésité abdominale, l'activité physique et le risque de cancer. Les résultats fournissent des indications importantes pour la promotion de la santé publique.

L'étude se base sur les données de 315 457 participants sans cancer de la UK Biobank, suivis sur une période de 11 ans. L'étude se concentre sur le tour de taille comme mesure de l'obésité abdominale, par opposition à l'indice de masse corporelle (IMC) habituellement utilisé, qui reflète l'obésité générale. Le tour de taille est désormais considéré comme un indicateur plus précis du risque de cancer, car il est étroitement lié à des processus biologiques tels que la résistance à l'insuline, qui jouent un rôle clé dans le développement du cancer.

Structure de l'étude

Les participants ont été répartis en quatre groupes conformément aux directives de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) concernant le tour de taille (>88 cm pour les femmes et >102 cm pour les hommes) et l'activité physique suffisante (>150 minutes d'activité physique modérée à intense par semaine) :

  • 1. taille fine (<88cm pour les femmes, <102cm pour les hommes) et activité physique suffisante (>150 minutes d'activité modérée à intense par semaine)
  • 2. taille fine (<88cm pour les femmes, <102cm pour les hommes) et activité physique insuffisante (<150 minutes d'activité modérée à intense par semaine)
  • 3. obésité abdominale (>88cm pour les femmes, >102cm pour les hommes) et activité physique suffisante (>150 minutes d'activité modérée à intense par semaine)
  • 4) Obésité abdominale (>88cm pour les femmes, >102cm pour les hommes) et activité physique insuffisante (<150 minutes d'activité modérée à intense par semaine).

Les diagnostics de cancer ont été déterminés sur la base des données de santé pendant le suivi. L'analyse a pris en compte des facteurs tels que l'âge, le sexe, le régime alimentaire, le tabagisme et la consommation d'alcool afin d'examiner le lien entre l'obésité abdominale, l'activité physique et le risque de cancer. Des méthodes statistiques rigoureuses ont permis de garantir la robustesse et la fiabilité des résultats.

Messages clés de l'étude

  • L'obésité abdominale augmente le risque général de cancer de 11% et le manque d'activité physique de 5%. Les personnes qui n'ont ni une taille fine ni une activité physique suffisante présentent un risque de cancer supérieur de 15% à celui des personnes ayant une taille fine et une activité physique suffisante. Pour les cancers fortement associés à l'obésité et au manque d'activité physique, ce risque passe à 48%.
  • Le respect d'une seule recommandation (taille fine ou activité physique suffisante) ne suffit pas à compenser les effets négatifs sur le risque de cancer dus au non-respect des autres.
  • Au total, l'obésité abdominale et le manque d'activité physique étaient responsables de 2% de tous les cancers et de 6% des cancers associés à l'obésité et au manque d'activité physique dans la cohorte UK Biobank.

En cherchant à savoir si l'activité physique peut réduire le risque de cancer chez les personnes souffrant d'obésité abdominale - et si l'obésité abdominale influence le risque de cancer chez les personnes physiquement actives - cette étude comble un manque crucial de connaissances et vise à développer des stratégies de santé publique efficaces. "Nos résultats soulignent que tant le maintien d'un tour de taille sain que la pratique d'une activité physique régulière jouent un rôle important dans la prévention du cancer et que des changements de style de vie réalisables ont un impact positif sur la santé à long terme", explique le professeur Michael Leitzmann, chef de projet à l'Institut d'épidémiologie et de médecine préventive.

Note: Cet article a été traduit à l'aide d'un système informatique sans intervention humaine. LUMITOS propose ces traductions automatiques pour présenter un plus large éventail d'actualités. Comme cet article a été traduit avec traduction automatique, il est possible qu'il contienne des erreurs de vocabulaire, de syntaxe ou de grammaire. L'article original dans Allemand peut être trouvé ici.

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