Schizophrénie : Observation de processus dans les cellules nerveuses
Un pas vers l'objectif de traiter les causes de la schizophrénie
Les protéines jouent un rôle central dans les organismes à bien des égards. Si elles sont mal codées et/ou ne remplissent pas leurs tâches comme prévu, cela peut entraîner des maladies. Cela s'applique également à la schizophrénie, dans laquelle les cellules nerveuses (neurones) se développent de manière incorrecte.
Détection précoce des processus défectueux
Une équipe de scientifiques du NMI dirigée par Aaron Stahl, le professeur Hansjürgen Volkmer et le docteur Markus Templin a maintenant utilisé la technologie DigiWest® pour examiner les cellules nerveuses au cours de leur développement. Ils ont utilisé des cellules dérivées de patients (fournies par l'hôpital universitaire de Tübingen) provenant d'individus malades et non malades et les ont soumises à une analyse de haute précision.
"Nous avons réussi à observer les neurones à un stade précoce de leur développement. Cela nous a permis de décrire à un stade précoce que les cellules malades se développent plus mal et, surtout, pourquoi", explique Aaron Stahl, qui mène des recherches au NMI et à la faculté de médecine de l'université de Tübingen.
Que se passe-t-il dans les cellules nerveuses en cas de schizophrénie ?
Les analyses de protéines DigiWest® ont permis de mettre en évidence des processus importants dans les cellules malades. Les processus défectueux sont désormais clairs. Il s'agit notamment de la réparation de l'ADN défectueux. La régulation du cycle cellulaire, qui détermine le processus de division cellulaire régulier, ne fonctionne plus correctement non plus. Enfin, la régulation dite p53 est considérablement altérée dans ces cellules ; on sait déjà que la protéine p53 peut déclencher des maladies graves telles que le cancer si elle est mal régulée. Il semble y avoir un lien étroit entre ces dysfonctionnements des cellules nerveuses et la schizophrénie.
Un pas vers l'objectif de traiter les causes de la schizophrénie
"Grâce à nos analyses de protéines, nous en savons désormais beaucoup plus sur les véritables déclencheurs de la schizophrénie. Il s'agit d'un pas important vers la possibilité de traiter un jour la maladie en se rapprochant de ses causes par des médicaments", déclare Markus Templin, scientifique du NMI, en se projetant dans l'avenir. Cependant, il faudra encore du temps pour que la science atteigne cet objectif.
Note: Cet article a été traduit à l'aide d'un système informatique sans intervention humaine. LUMITOS propose ces traductions automatiques pour présenter un plus large éventail d'actualités. Comme cet article a été traduit avec traduction automatique, il est possible qu'il contienne des erreurs de vocabulaire, de syntaxe ou de grammaire. L'article original dans Anglais peut être trouvé ici.
Publication originale
Aaron Stahl, Johanna Heider, Richard Wüst, Andreas J. Fallgatter, Katja Schenke-Layland, Hansjürgen Volkmer, Markus F. Templin; "Patient iPSC-derived neural progenitor cells display aberrant cell cycle control, p53, and DNA damage response protein expression in schizophrenia"; BMC Psychiatry, Volume 24, 2024-10-31