Se débarrasser d'une maladie auto-immune grâce à un traitement innovant
Une équipe de recherche fait une percée décisive
"Il ne sert à rien d'avancer à toute vitesse ou de lever toutes les voiles alors que l'ancre n'a pas encore été levée", explique le professeur Georg Schett, directeur du département de médecine 3. "De nombreux patients atteints de maladies auto-immunes ne progressent pas, car les traitements tels que la cortisone et d'autres immunothérapies n'apportent aucun soulagement." Ce sentiment d'être "bloqué" est assez démoralisant pour de nombreuses personnes touchées, à la fois en raison de la persistance des symptômes et de l'absence d'espoir d'une quelconque amélioration.
Cependant, l'équipe de recherche vient de faire une percée dans le cadre d'un essai clinique. "Nous avons identifié l'un de ces "points d'ancrage" et nous avons pu l'élever", rapporte le professeur Ricardo Grieshaber-Bouyer, responsable de l'étude. L'étude s'est concentrée sur des patients atteints de maladies auto-immunes graves dont le traitement n'a pas donné de bons résultats jusqu'à présent. Ces maladies comprennent la polyarthrite rhumatoïde, les maladies musculaires inflammatoires auto-immunes, la sclérose systémique comme le syndrome de Sjögren, où les glandes lacrymales et salivaires sont endommagées par l'inflammation.
La recherche a montré que la maladie est profondément ancrée dans un type de cellule immunitaire - le plasmocyte - qu'il est très difficile de neutraliser avec les méthodes conventionnelles. Les chercheurs ont mis au point une approche spéciale pour libérer cette "ancre". Ils ont utilisé un médicament qui fonctionne comme un "engageur" et qui active les propres cellules immunitaires du corps pour identifier les plasmocytes malades et les détruire. "L'effet nous a surpris", rapporte le Dr Melanie Hagen, auteur principal de l'étude. "L'état des patients s'est amélioré très rapidement après le traitement.
Cette nouvelle approche ouvre des perspectives prometteuses pour les patients souffrant de maladies auto-immunes graves. En outre, cette méthode vient s'ajouter à la thérapie cellulaire CAR-T déjà testée à l'Uniklinikum Erlangen et élargit l'éventail des approches thérapeutiques innovantes proposées.
L'étude a été réalisée au Deutsches Zentrum für Immuntherapie, spécialisé dans la recherche de nouvelles méthodes de traitement des maladies auto-immunes et inflammatoires chroniques.
Note: Cet article a été traduit à l'aide d'un système informatique sans intervention humaine. LUMITOS propose ces traductions automatiques pour présenter un plus large éventail d'actualités. Comme cet article a été traduit avec traduction automatique, il est possible qu'il contienne des erreurs de vocabulaire, de syntaxe ou de grammaire. L'article original dans Anglais peut être trouvé ici.
Publication originale
Melanie Hagen, Laura Bucci, Sebastian Böltz, Danae-Mona Nöthling, Tobias Rothe, Kirill Anoshkin, Maria G. Raimondo, Carlo Tur, Andreas Wirsching, Jochen Wacker, Christina Düsing, Jörg H.W. Distler, Torsten Kuwert, Aline Bozec, Andreas Ramming, Georg Schett, Ricardo Grieshaber-Bouyer; "BCMA-Targeted T-Cell–Engager Therapy for Autoimmune Disease"; New England Journal of Medicine, Volume 391