Construire une "bibliothèque de vaccins" pour prévenir les futures pandémies
À l'aide d'un logiciel classique et d'un logiciel basé sur l'IA, des candidats vaccins seront conçus pour dix familles de virus prioritaires présentant un potentiel épidémique et pandémique.
Swen Reichhold
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Les bouleversements sociaux tels que la mondialisation, l'urbanisation et le changement climatique favorisent et augmentent la probabilité et la fréquence des épidémies virales qui pourraient conduire à de nouvelles pandémies. Avec l'apparition et la propagation du virus SARS-CoV-2, le monde a fait l'expérience de l'impact existentiel et durable que peut avoir une mutation virale. Pour mieux se préparer à une future pandémie, le CEPI investit dans un projet de recherche visant à développer de nouveaux antigènes à l'Institute of Drug Discovery de la Faculté de médecine. L'équipe, dirigée par le directeur et professeur Humboldt Jens Meiler, se concentre sur dix familles de virus connues pour constituer la "bibliothèque de vaccins" et utilise la plate-forme informatique Rosetta pour ses recherches. "Rosetta est un système logiciel dynamique et évolutif qui traite de la prédiction et de la conception de structures biomoléculaires. Nous utilisons Rosetta pour concevoir des composés qui n'existent pas dans la nature. C'est très créatif", explique le professeur Meiler : "Nous construisons une bibliothèque de vaccins dans laquelle les développeurs cliniques pourront ensuite puiser".
Pour le sponsor CEPI, une approche égalitaire est une condition préalable à ce projet : les partenaires et les développeurs apportent leurs connaissances dans une "bibliothèque de vaccins" et peuvent puiser dans une autre. "Dans ce projet de recherche, nous apprenons essentiellement ce que nous pouvons améliorer dans la conception des vaccins afin de développer des vaccins plus performants et surtout plus rapides à l'avenir. Pour ce faire, nous utilisons la conception assistée par ordinateur, y compris l'apprentissage automatique, pour optimiser la conception des protéines. Cela signifie que nous nous entraînons avec le programme et que nous apprenons ce que nous pouvons déjà bien concevoir et où nous devons encore adapter nos programmes", explique le chef de projet, le Dr Clara T. Schoeder, qui occupera un poste de professeur junior en développement d'immunothérapies à la Faculté de médecine de Leipzig le 1er juillet 2023.
Le projet de recherche est prévu pour une durée de cinq ans. Un groupe de travail de l'hôpital méthodiste de Houston au Texas est également partenaire du projet et est en contact avec le groupe de recherche du Dr Schoeder. Les résultats préliminaires sont attendus fin 2023 ou début 2024.
Note: Cet article a été traduit à l'aide d'un système informatique sans intervention humaine. LUMITOS propose ces traductions automatiques pour présenter un plus large éventail d'actualités. Comme cet article a été traduit avec traduction automatique, il est possible qu'il contienne des erreurs de vocabulaire, de syntaxe ou de grammaire. L'article original dans Anglais peut être trouvé ici.