Les viscères de poisson pourraient jouer un rôle dans les futurs produits de soin de la peau

11.09.2024
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Les cosmétiques et les produits de soin de la peau contiennent des ingrédients assez étranges. La mucine d'escargot, également connue sous le nom de bave d'escargot, est par exemple utilisée pour ses propriétés hydratantes et antioxydantes. Mais des chercheurs dont les travaux sont publiés dans ACS Omega pourraient avoir trouvé quelque chose d'encore plus étrange à mettre sur votre visage : des molécules fabriquées par des bactéries intestinales de poisson. Dans des cellules cultivées, ces composés ont des propriétés éclaircissantes et antirides, ce qui en fait des ingrédients potentiels pour votre future routine de soins de la peau.

Bien que les intestins de poisson semblent être le dernier endroit où chercher des composés cosmétiques, l'idée n'est pas complètement farfelue. De nombreux médicaments importants ont été découverts dans des endroits bizarres : les propriétés antibiotiques de la pénicilline ont été découvertes à la suite d'une expérience ratée qui a moisi. Plus récemment, le marizomib, un médicament candidat contre le cancer du cerveau, a été obtenu à partir de microbes découverts dans des sédiments marins au fond de l'océan. Deux sources potentiellement inexploitées de nouveaux composés pourraient être les microbes intestinaux de la dorade rouge et de la dorade à tête noire, des poissons que l'on trouve dans l'ouest de l'océan Pacifique. Bien que ces microbes aient été identifiés pour la première fois en 1992 et 2016 respectivement, aucune étude n'a été réalisée sur les composés qu'ils fabriquent. Hyo-Jong Lee et Chung Sub Kim ont donc voulu voir si ces bactéries produisaient des composés métaboliques qui pourraient avoir des effets bénéfiques sur le plan cosmétique.

L'équipe a identifié 22 molécules produites par les bactéries intestinales de la dorade rouge et de la dorade à tête noire. Ils ont ensuite évalué la capacité de chaque composé à inhiber les enzymes tyrosinase et collagénase dans des cellules de souris cultivées en laboratoire. (La tyrosinase est impliquée dans la production de mélanine, qui provoque l'hyperpigmentation de la peau vieillissante. La collagénase décompose la protéine structurelle qu'est le collagène, ce qui provoque des rides). Trois molécules issues de la bactérie de la dorade rouge sont celles qui inhibent le mieux les deux enzymes sans endommager les cellules, ce qui en fait des agents antirides et éclaircissants prometteurs pour de futurs produits cosmétiques.

Note: Cet article a été traduit à l'aide d'un système informatique sans intervention humaine. LUMITOS propose ces traductions automatiques pour présenter un plus large éventail d'actualités. Comme cet article a été traduit avec traduction automatique, il est possible qu'il contienne des erreurs de vocabulaire, de syntaxe ou de grammaire. L'article original dans Anglais peut être trouvé ici.

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